Lalie Hubert, une jeune enseignante désabusée et Samuel Florent, un séduisant, mais irascible virtuose, sont les principaux protagonistes de ce 7e opus qui se joue tel un concerto pour piano, crescendo.
Il commence sur quelques notes légères de Mendelssohn jusqu’à ce qu’Alexis Duivel en personne doive intervenir pour reprendre la baguette et imposer sa partition.
Hélas, c’est sans compter sur la sensibilité exacerbée des artistes qu’il a en face de lui.
Une seule fausse note, et le concert s’arrête.
Il commence sur quelques notes légères de Mendelssohn jusqu’à ce qu’Alexis Duivel en personne doive intervenir pour reprendre la baguette et imposer sa partition.
Hélas, c’est sans compter sur la sensibilité exacerbée des artistes qu’il a en face de lui.
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