mercredi 31 janvier 2018

Interview 🎤 Layla Namani

Interview réalisée le 06 janv. 2018
Bonjour et merci d’accepter de répondre à ces quelques questions

Moi… Jeune femme ou plutôt femme enfant. Si tu viens me voir un jour, tu verras mes pommettes de loin. Moue mi boudeuse mi souriante, je suis une vraie rêveuse. Moitié rigolote moitié mélancolique, à la fois forte et fragile, je peux dire sincèrement que j’ai le cœur sur la main. Tu pourras le ressentir parfois à travers mon écriture. Si tu aimes le suspense, les intrigues, la profondeur, les belles histoires, le frisson d’amour, le frisson tout court, viens avec moi, je vais te présenter mes personnages… En attendant, voilà un peu de moi à travers cette interview.
Avant d’être édité(e), comment imaginiez-vous votre vie d’auteur(e) ?
Elle est plus ou moins telle que je l’avais imaginée : tranquille et excitante à la fois. Vers l’âge de neuf ans, je me souviens d’une journée pendant laquelle je réfléchissais à ce que je voulais faire plus tard. Je me suis imaginée être écrivaine... ça a duré deux petites secondes. J’ai pensé, « impossible, il y a trop de mots dans un livre ». J’étais attirée par ce métier sans y croire. J’étais admirative. J’aimerais faire un saut dans le passé et me dire à moi-même, « un jour, tu vas le devenir ».
Dans cette vie d’auteur(e), qu’est-ce que vous préférez ?
Ma liberté. Le fait de faire ce que j’aime. Il y a des hauts et des bas, bien sûr, mais vivre de sa passion est pour moi la plus belle des réussites. J’aime mon indépendance et je n’échangerais ça pour rien au monde. Créer quelque chose que d’autres personnes vont apprécier… c’est ça que j’aime.
Et que trouvez-vous le plus difficile ?
Le plus difficile à mes yeux est le manque de compréhension et de considération. On devrait s’en fiche de l’avis des autres, c’est vrai, mais ce n’est pas mon cas. En général, les gens sourient un peu quand on leur dit notre métier. Ils ne prennent pas ça au sérieux. Ce sont toujours les mêmes réflexions quand tu dis à quelqu’un que tu es auteure : « C’est mignon, mais sinon ? Tu fais quoi ? »… « Et tu arrives à en vivre ?? ah bon… »… « Tiens, je devrais écrire moi aussi… ». On n’imagine ni la charge de travail, ni que c’est un boulot à temps plein, comme un autre. On oublie le côté artistique qui n’est pas donné à tout le monde, c’est très vexant. On imagine aussi que sous prétexte qu’on travaille à la maison, on est libre et en obligation de modeler notre emploi du temps pour les autres, qui eux ont « un vrai travail » et de « vrais horaires ».
Quand avez-vous pris la décision d’écrire votre première histoire ?
Il y a quelques années maintenant. Je me suis réveillée en pleine nuit, j’ai pris une feuille, un stylo et j’ai noté une phrase. Je me suis rendormie aussitôt. Le lendemain, sans réfléchir, je me suis mise à tisser une histoire autour de cette phrase. C’est comme cela qu’est né mon premier roman « He’s She ». Avant ça, j’ignorais totalement que j’étais capable d’écrire de vrais livres.
Être édité(e), rêve ultime ou aboutissement ?
Aboutissement. Le rêve ultime est de pouvoir écrire une histoire qui tient la route. Une fois qu’on arrive à la moitié et qu’on se rend compte qu’on est en train de le faire, la publication devient un but. Pour ma part, le rêve ultime était de créer quelque chose sans abandonner. La publication a été un combat à mener afin de faire vivre cette création.
Comment voyez-vous votre avenir d’auteur(e) ?
J’espère pouvoir continuer toute ma vie… On m’a toujours dit que l’écriture était un don… Il est arrivé de manière si fulgurante que j’ai parfois peur qu’il s’en aille comme il est venu.
As-tu des rituels avant de te mettre à écrire et pour favoriser ta concentration ?
Je fais le ménage dans l’endroit choisi pour écrire. Je me lave, me mets en tenue confortable, m’assure que je n’ai ni faim, ni soif… puis je m’isole. Je me concentre parfois pendant deux heures entières avant de commencer. Parfois, je casse mes habitudes et vais à la bibliothèque municipale. Si je suis bloquée, je pense à mon histoire avant de m’endormir. En général, le lendemain, j’ai la solution.
Tu es plutôt première ou troisième personne ?
Première. C’est comme cela que j’arrive à faire passer le plus de sentiments.
Comment crées-tu tes personnages ? Les laisses-tu s’imposer à toi ou les crées-tu en détail avant de commencer à les faire vivre dans ton histoire ?
Je les laisse s’imposer à moi. C’est toujours eux qui viennent me chercher, jamais le contraire. Je sais, c’est très bizarre ce que je viens de dire !
Comment gères-tu les avis (négatifs ou positifs) ? Mais surtout, les utilises-tu pour améliorer ton histoire ?
Au début, je les gérais assez mal… Il faut dire qu’à mes débuts, rares étaient les critiques constructives. C’était le plus souvent de la méchanceté pure et dure. Petit à petit, avec l’expérience, j’ai appris à les gérer… Toutes les critiques non constructives me passent au-dessus. J’essaie de ne pas perdre mon temps avec ça. Je prends tout ce qui peut me faire avancer, pas le contraire. J’aime savoir pourquoi on n’a pas aimé mon livre… C’est un peu comme pour tout au final. Si tu cuisines quelque chose et que les gens n’aiment pas, tu as envie de savoir pourquoi… Pour améliorer ta recette.
Niveau écriture, tu es plutôt écriture au feeling ou alors planning d’écriture ?
Avant, j’étais carrément écriture au feeling. J’écrivais n’importe où et n’importe quand. Je ne faisais aucun plan et… j’ai eu tort. Aujourd’hui, j’écris au feeling mais je prends quand même le temps de mettre de l’ordre dans mes idées. Cela évite les incohérences… Une fois que le plan est posé, il faut attendre l’inspiration… alors, non, je suis incapable de dire à l’avance quel jour je vais écrire douze heures d’affilée ou seulement trois. Je suis esclave de l’inspiration. Je pourrais écrire et forcer l’inspiration, sans cette « frénésie » qui me prend au dépourvu, mais ça se ressentira dans l’écriture.
Tu es plutôt écriture sur ordinateur ou écriture papier/stylo ?
Écriture sur ordinateur !
Si tu peux nous en parler, sur quel projet travailles-tu en ce moment ?
En ce moment, je gère des choses administratives. Comme je change de distributeur, je prépare la republication de tous mes livres. C’est un peu comme un déménagement, ça prend du temps. J’ai aussi un livre en écriture qui s’intitule « Et après… C’est tout ». C’est de la romance « Bit-lit ». Je suis très excitée par ce registre que j’essaie pour la première fois. J’ai également trois autres projets en tête…
Premier souvenir d’enfance ?
La maison de ma grand-mère, au Liban. Je me souviens ces vacances de printemps chez elle… Je me levais à l’aube pour me balancer sur un vieux pneu suspendu à un arbre dans le jardin. Le soleil perçait timidement à travers les feuilles mais ses rayons étaient déjà chauds. La cloche de l’église sonnait comme une musique et j’entendais les poules secouer leurs plumes. Ma grand-mère me faisait ramasser les œufs, m’en préparait un à la coque et me faisait choisir une poule pour le déjeuner. Elle me concoctait du lait à la fraise maison… l’odeur se mélangeait à celle du white spirit, qu’elle utilisait pour nettoyer des pinceaux. Ça ne fait pas rêver comme ça… mais je n’oublierai jamais ce mélange de parfums. C’est le souvenir le plus apaisant de mon enfance.
Première qualité ?
La générosité… C’est aussi devenu un défaut. Il faut savoir donner sans s’oublier.
Premier conseil aux apprentis auteurs ?
Oui. Ne cherchez pas un mode d’emploi pour écrire. Il n’y en a pas. Il faut suivre son cœur et ses instincts sans trop réfléchir. Écoutez les conseils mais sachez aussi les trier. Prenez la critique comme une aide pour vous améliorer et ne laissez personne vous décourager. Si l’envie vous est venue d’écrire, c’est que ça vous fait du bien. Faites-le avant tout pour vous faire du bien.
Premiers fans ?
Sur Wattpad, avec mon histoire « Miss Grey » (Miss Earl) qui comptabilise aujourd’hui 10 millions de lectures. Belle expérience !
Première dédicace ?
En octobre dernier. Encore une belle expérience ! Moi qui ne voulais absolument pas faire de salon, la prochaine étape est celui de Paris.
Premier livre ?
He’s She… La suite, She’s He, est sortie deux ans plus tard, après la sortie de quatre autres livres. Je n’ai pas chômé.
Dernier livre lu ?
Je ne lis vraiment pas beaucoup. Cela fait bien deux ans que je n’ai pas lu un livre entièrement. J’en ai pourtant plein à lire alors il faut me reposer la question dans quelques mois. Je vais rattraper mon retard.
Dernière chanson écoutée ?
Beautiful de Sarah Sadler. C’est une chanson que j’ai entendue pendant le film « Pour le meilleur et pour le rire ». Très beau film et très belle chanson 😊
Dernier coup de gueule ?
Presque tous les jours ! Surtout dans ma voiture… Les gens oublient de mettre leur clignotant !
Dernier achat livresque ?
Un livre de recettes. Je suis très gourmande et passionnée de cuisine.
Dernier compliment reçu ?
Par le vigile d’un supermarché qui a aimé mes yeux de biche lol !
Dernier fou rire ?
A Noël, quand ma mère a voulu prendre un accent ridicule et qu’elle a continué à l’utiliser sans s’en rendre compte.
Un animal ?
Je serais un loup… car je suis à la fois solitaire et en besoin de rester connectée à mes proches…
Une chanson ?
T’es belle, de Volo. Pour les paroles, elles sont magnifiques, alors j’aimerais être cette chanson.
Une ville ?
Los Angeles. Si je devais un jour m’expatrier quelque part, ce serait là-bas. Depuis que j’ai écrit une histoire qui se passe là-bas, cette ville a comme une valeur sentimentale. Elle me correspond… elle parait hostile et elle peut l’être vraiment, mais elle est conviviale et donne de l’espoir.
Un pays ?
Je serais l’Inde, car ce pays est à la fois dur et doux, incompréhensible et plein de sens, comme une poésie écrite à vif.
Une saison ?
L’automne. J’adore cette saison. J’aime les couleurs, les odeurs, les vêtements qu’on porte à cette période… Les grands chocolats viennois sous un plaid… c’est une saison douce, pétillante, chaude, froide et mélancolique… tout ça à la fois. Complexe.
Une devise ?
« Je ne perds jamais. Soit je gagne, soit j’apprends ».
« La vie c’est comme une bicyclette, il faut avancer pour ne pas perdre l’équilibre ».
« Mieux vaut être giflé par la vérité que caressé par un mensonge ».
« N’offre pas ton cœur à quelqu’un qui a besoin d’un cerveau ».
« Si tu veux être triste, vis dans le passé. Si tu veux être inquiet, vis dans le futur. Si tu veux être en paix, vis dans le présent ! ».
Toujours avoir plein de devises !
Une odeur ?
L’odeur du poulet rôti dans les marchés.
Une couleur ?
Le rose gold. Cette couleur m’attire, me correspond. Je l’adore.
Une fleur ?
Le jasmin. Ça sent ma maman.
Une date ?
Je ne suis pas douée du tout pour retenir les dates importantes. Je dirais le 5 décembre 2015, le début d’une grande aventure ( la date de publication de mon premier livre).
Échoué(e) sur une île déserte, je voudrais avoir ?
Une source d’eau, pas loin. Un briquet. Une canne à pêche. Un médecin. Une pince à épiler… sinon, un ordinateur connecté, une amie et du maquillage seraient les bienvenus lol !
One shot préféré (livre en 1 seul tome) ? Pourquoi ?
La petite fille qui aimait Tom Gordon, de Stephen King. C’est mon livre préféré. Pour moi, c’est un chef d’œuvre de A à Z.
Saga préférée ? Pourquoi ?
Twilight. Elle me fait m’évader. Moi aussi je voudrais être un vampire !
Héros livresque préféré ? Pourquoi ?
Hardin Scott, même si j’ai fini par abandonner la série After car je l’ai trouvée répétitive. J’aime ce garçon. Il est écorché vif, électron libre et en même temps, soudainement dépendant d’une parfaite inconnue… ça me touche. J’aime la manière dont il aime. Tout le monde voudrait être aimé de cette façon.
Héroïne livresque préférée ? Pourquoi ?
Trisha dans le livre de Stephen King que j’ai cité plus haut. Je l’aime pour sa force et son courage malgré son jeune âge.
Couple livresque préféré ? Pourquoi ?
Hardin et Tessa. Bien qu’agaçants à la longue, ils sont vrais. Ils pourraient vraiment exister. Ils me font penser à deux personnes.
Auteur(e) préféré(e) ? Pourquoi ?
Moi. Non, je plaisante ! (C’était pas drôle). Stephen King. Je l’aime cet homme. Comme son nom l’indique, c’est mon roi. Il est celui qui m’a donné mes premiers cauchemars mais aussi mes premiers rêves. Il a certainement contribué à ce que je me mette à écrire.
Combien de livres dans votre bibliothèque ?
Une vingtaine.
Une vie sans livre, c’est…
Comme un pénis sans préservatif : dangereux et interdit. Ok les filles ?
Donnez-moi vos 7 mots préférés et expliquez votre choix
1. Chatelaillon : c’est le nom d’une ville.
2. Pépite
Pour ces deux mots, c’est tout simplement pour leur manière de rouler sur ma langue ou de tonner dans ma bouche. J’aime les dire à voix haute, ne me jugez pas, lol.
3. Jouissif : C’est le mot le plus positif que je connaisse.
4. Nourriture :  j’aime trop la nourriture.
5. Abondance : ce mot me rassure, bizarrement.
6. Apaisement : le meilleur sentiment qui soit.
7. Rire : le rire évoque le bonheur…
Livre papier et/ou numérique ? (lecture)
J’aime le papier, je suis une puriste. On peut toujours perdre des livres numériques à cause d’un dysfonctionnement alors qu’un livre dans une bibliothèque ne bouge pas… J’aime sentir le papier sous mes doigts.
Cahier et/ou ordinateur ? (écriture)
Ordinateur. Là vous allez me dire que ce n’est pas logique vu ce que j’ai dit juste en haut, mais de nos jours, tout doit se faire sur ordinateur.
Musique ou pas ? (lecture)
Non, ça me déconcentre.
Musique ou pas ? (écriture)
Oui. Ça m’inspire. (complexe la fille)
Thé ou café ?
Ni l’un ni l’autre. Je bois des tisanes.
Matin, après-midi, soir ou nuit ? (lecture)
Peu importe.
Matin, après-midi, soir ou nuit ? (écriture)
Parfois l’après-midi mais le plus souvent, c’est la nuit.
Bibliothèque, librairie, bouquiniste, brocante ou grande surface ? (achats livresques)
Grande surface et brocante. J’aime que ce soit très neuf et commercial ou très vieux et authentique.
Le dernier mot est pour toi…
Merci pour cette petite interview. N’hésitez pas à venir découvrir mon univers… Il a besoin de vous pour exister. Je vous embrasse tous ! PS : mes livres sont plus intéressants que moi 😉


samedi 27 janvier 2018

Interview 🎤 D.F. Novel

Interview réalisée le 06 janv. 2018
Bonjour et merci d’accepter de répondre à ces quelques questions



Un homme de son temps, avec les angoisses et les peurs de maintenant. Une poussière dans l’univers.

Avant d’être édité(e), comment imaginiez-vous votre vie d’auteur(e) ?
En fait je n’imaginais pas une vie d’auteur, car depuis que j’ai pu tenir un stylo et ensuite utiliser un ordinateur, j’ai toujours écrit. Des petites histoires plus jeune et des plus grandes histoires après.
Dans cette vie d’auteur(e), qu’est-ce que vous préférez ?
Le regard des lecteurs, le trac de la publication, le moment de l’écriture et de l’élaboration de l’histoire.
Et que trouvez-vous le plus difficile ?
L’introduction, la première page, ne dit-on pas que la première impression est la plus importante ?
Quand avez-vous pris la décision d’écrire votre première histoire ?
À mes 14 ans, j’ai commencé à écrire une petite histoire, ce n’était pas une véritable décision, mais un besoin de m’exprimer.
Être édité(e), rêve ultime ou aboutissement ?
Pour l’instant un rêve, car je n’ai fait aucunes démarches en ce sens.
Comment voyez-vous votre avenir d’auteur(e) ?
Tant que je serais là, j’écrirais, que je sois un « auteur » ou simplement quelqu’un qui écrit.
As-tu des rituels avant de te mettre à écrire et pour favoriser ta concentration ?
Je mets des boule quies, pour me couper du monde.
Tu es plutôt première ou troisième personne ?
Troisième personne ! Le « Je » peut parfois être impoli.
Comment crées-tu tes personnages ? Les laisses-tu s’imposer à toi ou les crées-tu en détail avant de commencer à les faire vivre dans ton histoire ?
Mes personnages sont déjà là quand j’écris, ils existaient avant que le livre ne débute. Je leur donne une vie c’est tout.
Comment gères-tu les avis (négatifs ou positifs) ? Mais surtout, les utilises-tu pour améliorer ton histoire ?
Oui, chaque avis est important, quand il est argumenté et sincère. On ne peut pas plaire à tout le monde, mais l’avis des lecteurs est essentiel.
Niveau écriture, tu es plutôt écriture au feeling ou alors planning d’écriture ?
Le planning est primordial pour moi, il y a un temps pour tout.
Tu es plutôt écriture sur ordinateur ou écriture papier/stylo ?
Je fus écriture papier/stylo, mais le plus pratique et le plus simple pour moi est dorénavant l’ordinateur.
Si tu peux nous en parler, sur quel projet travailles-tu en ce moment ?
Un thriller, une enquête...

Premier souvenir d’enfance ?
Une promenade dans les bois.
Première qualité ?
Persévérance.
Premier conseil aux apprentis auteurs ?
Ne découragez pas !
Premiers fans ?
Mon entourage et d’autres gens
Première dédicace ?
Pas encore faite !
Premier livre ?
L’Astrée de Honoré d’Urfé
Dernier livre lu ?
Vernon Subutex, tome 3 de Virginie Despentes.
Dernière chanson écoutée ?
« Rest » de Charlotte Gainsbourg.
Dernier coup de gueule ?
Je trouve de nombreuses choses injustes dans ce monde.
Dernier achat livresque ?
Vernon Subutex, tome 3 de Virginie Despentes.
Dernier compliment reçu ?
Bien vu !
Dernier fou rire ?
Il y a longtemps.
Un animal ?
Un chat
Une chanson ?
Avec le temps – Léo ferré
Une ville ?
Florence, Italie
Un pays ?
La France
Une saison ?
L’automne
Une devise ?
Fais-le avant qu’il soit trop tard.
Une odeur ?
Les pétales de rose
Une couleur ?
Lapis lazuli
Une fleur ?
Rosa Gallica
Une date ?
19 janvier 1809, naissance d'Edgar Allan Poe
Échoué(e) sur une île déserte, je voudrais avoir ?
Quelque chose pour écrire.
One shot préféré (livre en 1 seul tome) ? Pourquoi ?
Au-delà du mal (2009) - Shane Stevens peut-être l’un des plus grands thriller.
Saga préférée ? Pourquoi ?
Vernon Subutex – un tableau noir de la société.
Héros livresque préféré ? Pourquoi ?
Julien Sorel - Stendhal, Le Rouge et le Noir - Un héros mal dans son temps.
Héroïne livresque préférée ? Pourquoi ?
Louise de Rênal - Stendhal, Le Rouge et le Noir – Une héroïne romantique dans la plus pure tradition.
Couple livresque préféré ? Pourquoi ?
Tristan et Iseult – l’amour avec un grand A
Auteur(e) préféré(e) ? Pourquoi ?
Stendhal pour la passion et les déchirements dans un style d’une autre époque.
Combien de livres dans votre bibliothèque ?
Des centaines...
Une vie sans livre, c’est…
Un plat sans sel, cela n’a pas de goût.
Donnez-moi vos 7 mots préférés et expliquez votre choix
1. Tolérance : le mot magique pour régler tout les conflits.
2. Persévérance : Une ligne de conduite vitale.
3. Sensibilité : Un mot qui peut paraître désuet dans nos temps troublés.
4. Conviction : Peut être le moteur de belles choses.
5. Courage : Il faut savoir en avoir quand les choses essentielles sont menacées.
6. Vérité : Parfois difficile, elle fait avancer les choses.
7. Liberté : La condition à toute création.
Livre papier et/ou numérique ? (lecture)
Les deux. Rien ne remplace le touché du papier, mais un livre n’est pas qu’un objet, il est une interface de dialogue entre le lecteur et celui qui écrit, peu importe le support.
Cahier et/ou ordinateur ? (écriture)
Ordinateur. Beaucoup plus pratique.
Musique ou pas ? (lecture)
Pas de musique, seulement la mélodie de l’esprit.
Musique ou pas ? (écriture)
Le silence dans la pièce, mais l’action et les passions dans la tête.
Thé ou café ?
Thé le matin, café l’après-midi
Matin, après-midi, soir ou nuit ? (lecture)
Soir, quand le monde dort.
Matin, après-midi, soir ou nuit ? (écriture)
La nuit, quand tout est calme.
Bibliothèque, librairie, bouquiniste, brocante ou grande surface ? (achats livresques)
Tout ça à la fois, peut importe le flacon, pourvu qu’on est livresque.
Le dernier mot est pour toi…
La liberté, une condition essentielle à tout acte créatif.
 

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jeudi 25 janvier 2018

Série vintage 📺 Sliders : les mondes parallèles


Quinn Mallory, un jeune étudiant véritable génie de la physique, invente dans son sous-sol un appareil capable de générer un vortex qui débouche sur des réalités parallèles, des mondes où l'histoire de la Terre a évolué de manière différente.
Pour montrer que son invention fonctionne à son amie Wade Wells et à son sceptique professeur de physique, Maximilian Arturo, il active un vortex qu'il peut contrôler à l'aide d'un Minuteur, un appareil ressemblant à une télécommande, qui détermine le temps restant à passer dans le monde parallèle. Rembrandt Brown, un chanteur sur le retour, est emporté avec eux par accident.
Malheureusement pour eux, ils atterrissent dans un monde froid et austère, qui a connu une ère glaciaire. Une tornade glacée s'abat sur eux, et Quinn ne respecte pas la règle du minuteur qui impose d'attendre la fin du décompte pour ouvrir un nouveau vortex et retourner sur leur Terre d'origine. Du coup, le vortex nouvellement créé ne les ramène pas dans leur monde, mais dans un autre monde parallèle.
Sans espoir de choisir leur chemin chaque fois que le vortex s'ouvre, ils « glisseront » d'univers en univers, avec le risque, s'ils ratent la glisse, de rester bloqués dans le monde parallèle pour une longue durée qui varie selon les mondes (au début de la série, il est question de 29 ans).
 
 
Saisons 1 à 5 Visionnées
Pas d’autre saison

mercredi 24 janvier 2018

Interview 🎤 Dana B. Chalys

Interview réalisée le 05 janv. 2018
Bonjour et merci d’accepter de répondre à ces quelques questions
Je suis Dana B. Chalys, 29 ans, jusqu’ici autrice hybride dans les genres de l’Imaginaire (Science-Fiction, Fantasy et Fantastique ou SFFF). J’ai commencé à publier en auto-édition en 2012 avant de signer un roman Fantastique en 2014 chez les « feues » éditions Valentina, puis une série Fantastique en 2015 chez les « feues » éditions Flammèche. Aujourd’hui, par la force des choses, je suis redevenue une autrice 100% indépendante.
J’écris de l’aventure avec une pointe de romance, mais de l’aventure avant tout. Mon amour des contes et des légendes m’a naturellement poussée vers l’Imaginaire où tout est possible. Depuis plus de douze ans je travaille sur un univers étendu qui a pour nom « Les Chroniques des deux Terres » auquel sont rattachées la plupart de mes histoires (3 romans, 5 novellas et 5 nouvelles pour l’instant). Autant dire que je ne m’ennuie jamais ! 

Avant d’être édité(e), comment imaginiez-vous votre vie d’auteur(e) ?
Honnêtement, je ne pense pas avoir eu d’attente particulière avant ma première publication. À mes yeux, à cette époque, l’auto-édition était plus un moyen par défaut qu’une réelle publication, donc je n’en attendais rien. En revanche, quand j’ai signé mon premier contrat, j’espérais naïvement que mon roman serait un petit succès. Ça n’a pas du tout été le cas.
Dans cette vie d’auteur(e), qu’est-ce que vous préférez ?
Deux choses : écrire (il vaut mieux !) et partager ensuite avec les lecteurs. C’est à ce moment-là que je me dis que tout mon travail n’a pas été vain.
Et que trouvez-vous le plus difficile ?
Attirer l’attention des lecteurs déjà sur-sollicités. Tirer son épingle du jeu n’est pas évident, on ne peut y arriver qu’avec l’aide des lecteurs qui parviennent à nous trouver au milieu de la masse. En tant que petits auteurs, on ne peut pas payer des publicités dans le métro parisien, on n’a que le soutien de notre lectorat pour avancer.
Quand avez-vous pris la décision d’écrire votre première histoire ?
J’avais 14 ans, mais je ne voyais pas vraiment ça comme une histoire, plutôt comme un exutoire. La première vraie histoire sur laquelle j’ai travaillé, c’était quand j’avais 16 ans et d’une certaine manière je travaille toujours dessus 13 ans après, puisqu’elle a été la première pierre d’un vaste univers que je continue de développer.
Être édité(e), rêve ultime ou aboutissement ?
C’est généralement l’aboutissement d’un travail et d’une démarche. Pour un jeune auteur, ça peut apparaître comme rêve ultime, mais à force on se rend compte qu’être édité ce n’est pas forcément le Saint Graal. Tout dépend de ce que chacun attend de l’édition, en fait, et comment chacun vit l’écriture.
Comment voyez-vous votre avenir d’auteur(e) ?
Après la fermeture de ma maison d’édition en décembre 2017, j’ai pris la décision de ne plus soumettre de texte à des maisons d’édition durant un long moment car j’ai perdu la foi (en moi plus qu’aux autres). J’ai aussi décidé d’arrêter l’auto-édition car c’est chronophage et personnellement très peu rentable. Je vais terminer de publier ma série Chroniques d’un Saint Exorciste (le dernier tome sort à l’été 2018), puis je vais rééditer en AE ma série Fantastique Des proies pour l’ombre (date non déterminée), mais après il n’y aura plus de publications indépendantes.
Mon avenir d’autrice, je le vois donc bien vide.
As-tu des rituels avant de te mettre à écrire et pour favoriser ta concentration ?
J’ai un dossier papier pour chaque histoire que j’écris. Avant de me mettre au travail, j’ordonne mon bureau puis j’ouvre mon dossier devant moi pour avoir toutes les infos à disposition rapidement.
Pour certaines scènes, je choisis soigneusement la musique d’ambiance puis je la mets.
Tu es plutôt première ou troisième personne ?
Troisième personne. J’ai tendance à avoir beaucoup de personnages, la troisième personne me permet ainsi plus de liberté pour raconter l’histoire.
Comment crées-tu tes personnages ? Les laisses-tu s’imposer à toi ou les crées-tu en détail avant de commencer à les faire vivre dans ton histoire ?
Je les laisse s’imposer parce que les découvrir en route est quelque chose que j’aime beaucoup. Si je sais déjà tout d’eux avant de commencer l’histoire, je m’ennuie en leur compagnie.
Comment gères-tu les avis (négatifs ou positifs) ? Mais surtout, les utilises-tu pour améliorer ton histoire ?
De manière générale je ne gère pas les avis, sauf si le lecteur vient me le partager. Comme on peut s’en douter, gérer les avis positifs est extrêmement facile ! Ce sont des boosters incroyables qui me donnent toujours envie de me remettre à écrire et de faire encore mieux pour ne pas décevoir mes lecteurs.
Lorsque l’avis est négatif et que le lecteur m’en fait part de manière courtoise, je l’en remercie. Car si recevoir un avis négatif n’est pas facile pour moi, le donner à un auteur, pour un lecteur, est tout aussi difficile. Et quand l’avis négatif est argumenté, je le lis avec attention, je déprime un bon coup, puis une fois que j’ai assez de recul je l’analyse, ce qui me permet de travailler sur mes points faibles et de remettre en question mes choix scénaristiques.
Pour moi, les avis positifs et négatifs argumentés sont très importants, chacun pour une raison précise. Même s’il est évident que je préfère les avis positifs, je ne rejette jamais les négatifs.
Niveau écriture, tu es plutôt écriture au feeling ou alors planning d’écriture ?
Feeling, j’écris quand j’en ai envie, sinon ça ne donne rien de bon chez moi. Je fonctionne beaucoup à l’envie, en fait, même dans la phase de création de l’histoire car je suis une autrice freestyle à 95%. Si je fais un plan précis avant d’écrire une histoire, j’ai l’impression de l’avoir déjà écrite, du coup je bloque. Avant de commencer un roman, je fais quelques recherches selon mes besoins, et après je me lance quitte à faire de nouvelles recherches en cours de route. Ce qui fait que souvent, je suis incapable de dire comment va vraiment finir mon histoire avant d’entre être aux ¾, voire plus. Parfois, je me retrouve aussi à écrire une trilogie de romans alors que je m’étais lancée dans une simple nouvelle !
Tu es plutôt écriture sur ordinateur ou écriture papier/stylo ?
Ordinateur. Je tape vite et je peux naviguer facilement dans le fichier pour reprendre des points à ma guise, ce qui est appréciable pour une autrice freestyle. En revanche, toutes mes notes sont manuscrites car je retiens mieux ce que j’écris à la main.
Si tu peux nous en parler, sur quel projet travailles-tu en ce moment ?
En ce moment, je travaille sur "Spoiler", un livre référence sur "Le Cycle des Pourpres", une partie de l’univers que je développe depuis plus de 12 ans. Ensuite, je terminerai d’écrire le troisième et dernier tome de ma série "Des proies pour l’ombre" afin de la rééditée entièrement en auto-édition.
Premier souvenir d’enfance ?
La maladie de mon grand-père maternel. J’avais 4 ans, malgré tout je n’ai jamais oublié cette période-là.
Première qualité ?
Patiente.
Premier conseil aux apprentis auteurs ?
N’espère pas vivre de ta plume. Pas très encourageant, je sais, et j’avoue que j’aurais détesté qu’on me dise ça quand j’ai commencé à publier, mais aujourd’hui j’aurais aimé que quelqu’un me l’ait dit.
Premiers fans ?
Ma meilleure amie. Elle me lit depuis plus de dix ans et d’après ce qu’elle m’a dit, elle n’a pas l’intention d’arrêter.
Première dédicace ?
À ma meilleure amie aussi. Sinon, ma première dédicace en salon c’était à Éternelle Fantasy à Caudeval (Aude) en juillet 2013, avec ma partenaire de plume Émilie Milon et Marie-Laurence Versini.
Premier livre ?
Écrit et terminé : Réminiscence 1 - Le Secret d’Abanhonne partie 1 (de la Fantasy).
Dernier livre lu ?
Meurtre au collège de Colin Howard. J’aime bien le policier, et celui-là traînait chez mes parents, je me suis dit : « Pourquoi pas ! ». Il n’a duré que 4 heures. Bien qu’il soit sympathique, il n’est pas non plus transcendant surtout quand on trouve le coupable à la moitié du livre.
Dernière chanson écoutée ?
À la cour d’Edoras de Metalyscendre (J’ai vu Le Retour du Roi la veille de répondre à cette interview, ça m’a donné envie de réécouter la chanson qui raconte l’histoire d’Eowyn.) Ça m’a aussi rappelé mes années Naheulbeuk, au passage.
Dernier coup de gueule ?
J’évite de me mettre en colère, ça brouille le teint, paraît-il. (En fait je ne m’en souviens pas, donc je brode ^^)
Dernier achat livresque ?
Histoire illustrée de l’horreur chez Le pré aux clercs. L’illustration est un art qui me parle, tout comme le genre de l’horreur. Puis il était en promo, alors j’ai craqué !
Dernier compliment reçu ?
Que j’avais du talent en tant qu’autrice. Ça m’a beaucoup touchée.
Dernier fou rire ?
Mi-décembre en revenant du resto avec ma meilleure amie. Ce n’est pas tant ce qu’elle a dit que la manière dont elle l’a dit qui m’a fait rire (et avaler mon café de travers, parce que bien sûr j’étais en train de boire à ce moment précis !). Et ça concernait un charmant serveur.
Un animal ?
Un aigle pour pouvoir aller où bon me semble et voir ce que personne d’autre ne peut voir.
Une chanson ?
Lullaby de Nickelback. Parce qu’elle me parle de manière intime.
Une ville ?
Une ville fantôme. Je n’aime pas la ville, je suis de la campagne.
Un pays ?
La France me va très bien, surtout le Sud (côté chocolatine).
Une saison ?
Le printemps avec son herbe d’un tendre vert, ses fleurs qui éclosent, ses arbres qui bourgeonnent, son soleil qui regagne en vigueur et adoucit l’air.
Une devise ?
Faire les choses dans l’ordre est le meilleur moyen de bien les faire.
Une odeur ?
Le parfum du lilas. Il annonce le printemps et en plus c’est une belle fleur qui égaye par chez moi le bord des chemins.
Une couleur ?
Le rouge, parce que c’est une couleur de contraste représentant le meilleur comme le pire.
Une fleur ?
Celle du magnolia. Je la trouve très belle et en plus elle sent super bon !
Une date ?
Alors là, je sèche. Les dates et moi, ça fait 10.
Échoué(e) sur une île déserte, je voudrais avoir ?
De quoi me nourrir et de quoi écrire.
One shot préféré (livre en 1 seul tome) ? Pourquoi ?
Le dernier que j’ai lu d’Émilie Milon mais il n’est pas encore publié alors je ne peux pas en parler. Mais il est juste génial ! Mais genre vraiment très génial !
Donc je vais dire Orgueil et Préjugés de Jane Austen parce qu’elle a réussi à créer des personnages intemporels, ce qui n’est pas donné à tout le monde.
Saga préférée ? Pourquoi ?
Harry Potter de J.K. Rowling. En temps normal j’ai du mal à accrocher aux séries de plus de 2 tomes. Le fait que j’ai dévoré les 7 HP est un exploit en soi et veut donc tout dire. J’aime tout dans cette série !
Héros livresque préféré ? Pourquoi ?
Liam ! Du one-shot-dont-je-ne-peux-pas-prononcer-le-nom. Je suis amoureuse de ce type ! Je ne peux pas en dire plus sinon je devrai vous tuer…
Héroïne livresque préférée ? Pourquoi ?
Je dirais Elizabeth Bennet dans Orgueil et Préjugés parce que j’aime sa vivacité d’esprit et sa répartie.
Couple livresque préféré ? Pourquoi ?
Caitlyn et Liam du one-shot-dont-je-ne-peux-pas-prononcer-le-nom.
Auteur(e) préféré(e) ? Pourquoi ?
Là c’est dur. Si je tiens compte du nombre de livres que j’ai d’un même auteur, c’est Graham Masterton, parce que j’adore quand il utilise des créatures et des magies de différents pays. Mais j’aime aussi beaucoup Roxane Dambre qui arrive en deuxième en nombre de livres. Chacune de ses histoires est un vrai régal !
Combien de livres dans votre bibliothèque ?
J’avoue ne jamais avoir compté. À vue de nez je dirais 150 ou 200 (à ma décharge, je n’ai pas beaucoup de place). La plupart sont des livres de référence, ça va de la magie à la psychologie en passant par les folklores, contes & légendes, la révolution industrielle, Napoléon, la Seconde Guerre mondiale, l’architecture, la mécanique, la navigation à la voile et les récits de marins, etc.
Une vie sans livre, c’est…
Une vie insipide dépourvue d’émerveillement, de connaissance et d’évasion.

Donnez-moi vos 7 mots préférés et expliquez votre choix
1. Rêve : parce qu’il nous pousse à nous surpasser.
2. Aventure : pour apprendre à connaître le monde et à se connaître soi-même.
3. Amitié : parce que les amis nous relèvent quand on tombe et nous rassurent quand on doute.
4. Persévérance : parce que le temps forge les plus belles histoires.
5. Empathie : parce qu’en avoir favorise l’entraide.
6. Générosité : parce qu’on a tous quelque chose à offrir aux autres.
7. Liberté : parce qu’elle nous permet d’être qui on est même si on ne respecte pas les normes.
Livre papier et/ou numérique ? (lecture)
Papier. J’aime l’objet et son odeur, sans compter que lire sur papier fatigue moins mes yeux sensibles.
Cahier et/ou ordinateur ? (écriture)
Ordinateur, c’est plus pratique.
Musique ou pas ? (lecture)
Pas quand je lis parce que mon imagination fait pas mal de bruit !
Musique ou pas ? (écriture)
Pour certaines scènes ou quand mon environnement est bruyant, oui. Sinon je préfère le silence.
Thé ou café ?
Café. Le thé ne passe pas du tout.
Matin, après-midi, soir ou nuit ? (lecture)
Toute la journée !
Matin, après-midi, soir ou nuit ? (écriture)
À partir de l’après-midi jusqu’à tard dans la nuit parfois.
Bibliothèque, librairie, bouquiniste, brocante ou grande surface ? (achats livresques)
Comme je suis à la campagne, donc à plus de 10 km du magasin le plus proche, et que je suis beaucoup de petites maisons d’édition, j’avoue acheter en majorité via internet. Sinon, quand j’ai l’occasion, j’achète indifféremment dans une librairie, une brocante ou chez un bouquiniste. Les grandes surfaces rarement parce qu’elles ne proposent pas grand-chose d’original en termes de Science-Fiction, Fantasy et Fantastique. C’est assez déprimant, d’ailleurs.
Le dernier mot est pour toi…
Un grand merci à toi, Virginie, pour cette très chouette interview, et merci à toutes les personnes qui auront eu la patience de la lire jusqu’au bout !

Blog et/ou site internet
http://danabchalys.fr

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