J’ai commencé à écrire au lycée… Personne ne me lisait.
En écriture, la littérature jeunesse et la chick lit / En lecture, la même chose + la littérature classique.
Je crois que ça part de ma « caméra à faire des films », tu sais lorsque l’on est au lycée (et même après) et que le soir, dans le lit, on se fait un film sur le garçon qui nous plaît. Et bien pour l’écriture, souvent, j’ai une idée « bing » qui arrive comme ça et après hop je sors ma caméra… Ça fait son cheminement dans ma tête jusqu’à ce que je prenne ma plume.
Le « Je ».
Alfred de Musset, George Sand, Diderot…
Dans le genre de littérature que j’écris, j’ai besoin de faire de mes personnages des gens « humains ». J’ai toujours plus de mal à faire de mes personnages « négatifs » des personnes totalement méchantes. Peut-être besoin de croire qu’il y a du bon même chez les pires personnes… Mais j’y travaille docteur…
Alors ça, c’est une bonne question. Je ne sais pas… Moi ? ou peut-être… moi… Euh non… moi.
Oui bien sûr, même s’il est plus plaisant de lire des avis positifs. De toute façon, dans ce genre de métier, il faut vite intégrer qu’on ne peut pas plaire à tout le monde.
Oui avec certaines de mes amies qui lisent mes manuscrits.
Ah non, et ça c’est un gros défaut… J’écris quand je suis inspirée.
Quand je me mets à écrire, c’est que je suis inspirée, « à fond » dedans. Mes doigts s’agitent sur le clavier et c’est parti. Il n’y a plus rien autour, je suis dans mon truc !
Je travaille sur ordinateur. Il m’arrive d’imprimer pour relire en effet.
J’ai écrit des livres documentaires, des guides, et des romans avec diverses maisons d’édition.
J’ai plusieurs projets en cours d’écriture dont un jeunesse que j’espère mener jusqu’au bout.
Pour toutes tes lectrices et tous tes lecteurs, j’espère que vous aurez envie de lire Love on process. Je vous attends sur ma page facebook. Et un grand merci à toi pour cette interview et l’intérêt que tu m’as porté.
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